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Le tombeau de princesse Sarah

La mansarde aux portraits-livre 0-11 version promotionnelle Vulgarités et allégations artistiques

28 Mai 2018 , Rédigé par Princesse Sarah sortie du dessin animé ... Publié dans #Pavillons

Quelque temps plus tard , après avoir accusé le choc du premier meurtre , elle eut envie de se faire vengeresse . Elle commençait à penser qu' elle devait faire justice aux victimes oubliées comme Clavicule . Cela était si facile , de tuer , si facile et tellement agréable pour la paix de son âme . Alors elle conçu de nouveaux plans , pour agrandir le château . Elle fit construire une pièce isolée sonorement , acheta de drôle d' outils de tortures , et fit remplir les bacs de la piscine d' acide sulfurique . En même temps , elle entama des recherches pour retrouver le violeur de Clavicule , qu 'elle retrouva , la panse remplie de cochon et de bière à une fête paysanne , à 300 kilomètres de là , qu ' elle kidnappa . Elle fit les 300 kilomètres retour avec sa camionnette , conduisant arme à feu au poing et à l' arrière les huit chats qui surveillaient le monstre et commençaient déjà à le griffer et à le mordre , tournant tout autour du gros tas ligoté . Pendant quatre mois elle le tortura méthodiquement. Elle plongeait des parties de son corps dans les différents bacs d' acide sulfurique selon les jours de la semaine , d' abord de manière désordonnée, mais  tant et si bien que son corps fut rongé par endroits et dévoilerait jusque des parties de l' ossature . Les chats commençaient aussi à ronger d' autres parties de ses chairs nettoyé par les soins de leur maîtresse, enfermés une heure par jour avec le bourreau devenu proie de la vengeance d' Epine . Elle s' amusait à découper des morceaux de chairs du monstre , le laissant encore en vie , au moins juste assez pour qu 'il s' évanouisse en regardant les morceaux de sa viande nettoyés et donnés en pâture aux chats . Les seize chats tournaient autour du tas , attendant qu' Epine leur jette un morceau de chair . Cela dura quatre mois . Quatre mois de tortures quotidiennes pour ce monstre , avant de l ' achever dans le dernier bac d' acide , le plus hautement dosé des trois bacs , dans lequel le monstre s ' éteignit . Le décès arrivait juste à tant pour la fête prévu pour l ' anniversaire de la mort de Clavicule , qu ' Epine fêtait religieusement tout les ans . Elle avait voulu que Clavicule soit présente et voit le corps du pervers en train de brûler à l' acide . Aussi , elle avait transporté le cercueil qu 'elle avait mis debout , sur la plate-forme nord de la piscine , à côté du plongeoir sur lequel le tas ligoté était positionné . Elle montra au tas le visage de Clavicule en train de sourire . Là , le gros porc compris pourquoi il avait été séquestré et torturé durant durant tout ce temps , temps qui lui avait paru sans fin . Il avait reconnu le magnifique visage de cette fille qu 'il avait violenté .
Cela se passa en quelques secondes . Avant que les chats ne se jettent sur le plongeoir pour faire tomber le tas respirant encore dans le bac . Le tas brûlait , suppliait , hurlait . Les chats sans un bruit faisaient le tour de la piscine en signe de gardes forcenées du territoire , Clavicule semblait sourire de plus en plus dans sa cage de verre , et Epine s' apaisait au fur et à mesure que la fin approchait pour le tas , qui se débattait de moins en moins dans l' acide . Epine pris alors une espèce de filet de pêche bricolée par ses soins pour attraper des restes de peau du visage du tas devenu inerte . Elle composa avec la peau une petite sculpture , épinglant les lambeaux de visage , puis les  fixant définitivement dans un fond de boite en bois , avec du fil épais , voir plutôt un fin cordage , qu' elle cousu de manière à former comme un visage écartelé , en volume , dans cette toile d' araignée . Elle mit ensuite ce portait de violeur  sous une plaque de verre , pour fignoler la présentation de la grande boîte plate , boîte qu 'elle accrocha ensuite dans une des mansardes du château . Elle dactylographia un petit texte à l' aide d' une ancienne machine à écrire , un texte retraçant le pourquoi ce portrait , qui étais ce , un résumé du procès qu 'elle lui faisait , ainsi qu ' un résumé de la peine qu 'il avait fait subir , suivit de la date et des précisions sur les motivations du choix de la date du décès . En résultait un petit feuillet qu 'elle rangea dans la mansarde , dans un petit secrétaire en bois ancien . Sous le portrait , un titre : violeur numéro 1 .
Autant les mansardes étaient interminables , dans ce château , autant il y aurait de vengeances et de portraits à venir . Le travail semblait sans fin , mais Epine se sentait rajeunir , en vue de ce qu 'elle avait désormais projeté de faire , pourchasser les violeurs pour les torturer .
Plus le nombre de portraits augmenteraient , plus la violence de sa vengeance augmenterait .
Pour le second portrait , elle grava son visage en lui sciant le nez qu' elle coupa à la scie sauteuse , dont la lame était une obsidienne aux halos colorés réputée indestructible . Elle lui rabota d' abord le nez , dixièmes de millimètres par dixièmes de millimètres, lui qui mentait si bien . Ensuite , elle lui rabota les doigts  , centièmes de millimètres par centièmes de millimètres , puis les pieds , millièmes de millimètres par millièmes de millimètres . Et enfin le sexe , millionième de millimètres par millionième de millimètres . Ces mains gantée de velours jade recouvert de mousseline blanche restèrent intactes pendant tout le rituel du feu de l' obsidienne découpant , déchirant , broyant les chairs avec une précision supérieur encore au plus fin des scalpels . Il s' agissait pour ce violeur d' un frère incestueux et violeur en réunion récidiviste. Il s' était exercé sur sa petite soeur , puis s' en était pris aux jeunes filles de son quartier , qu 'il avait violées en groupe , avec ses camarades de viols . Epine se faisait une joie de le broyer . Elle continua ces tortures qu ' elle avait longtemps réfléchi pour les faire progresser afin de devenir de plus en plus douloureuses encore sur chacun des coupables de cette tournante qu' elle retrouverai un à un . Et elle en retrouva sept . Sept , qu 'elle broya un à un . Elle les avait maintenu en vie jusque ' à avoir les sept réunis dans la chambre aux tortures , et elle leur faisait manger aux uns et aux autres le sexe des uns et des autres . Elles les obligeait à mâcher à l' aide d' une grande pince plate qu' elle coinçait au dessus et en dessous de leurs mâchoires respectives . Ensuite , elle les attacherait à la la table à écartèlement datée du moyen âge qu' elle avait acheté à un brocanteur sur l' île de Jersey , pas très loin de la ville portuaire proche de son domaine . Pendant de long mois durant lesquels elle les torturerait , elle retrouva les adresses des victimes . Elle fit connaissance avec l' une d' elle dans un hammam . Au fil de discussions intimes avec les victimes , pour celles qui étaient toujours en vie, venait le moment ou la victime confiait ses souffrances , et ses envies de vengeance .Et Epine finissait toujours par exaucer le souhait de torture vengeresse de sa nouvelle amie . Elle ne disait presque rien , elle agissait . Aussi , elle vida de son sang le frère incestueux , car il avait salit sa soeur de sang et celle ci souhaitait venger son sang , et celui de ces ancêtres . Cet acte signifiait pour elle l' évacuer de la famille , le renier de sa famille . Le sang coula longtemps . Au rythme durant lequel le sang coulerai , elle recueillerai les larmes des autres victimes , et en quelques mots , bien choisis , leur ferait comprendre qu' elles seraient vengée , un jour , et milles nuits .
Elle avait appris à faire rire les jeunes femmes malheureuses, à les consoler ,  et à apaiser leurs coeurs . Elle l' avait tant fait pour son aimée , sans succès . Mais elle était forte de vengeance , maintenant . Cette force lui permettait de trouver les mots justes pour recentrer et soutenir l' autre dans le présent , le feu de la vie , et la douceur à venir du repos d ' une terre promise qui se réaliserait bientôt , dans le coeur des éplorées .
En signe de déclaration de guerre , elle ne mit pas les sept corps dans la piscine , comme à l' accoutumé , mais sur un plateau de plâtre qu 'elle déposa sur la place centrale du quartier où avaient eu lieu les viols . La punition fera peur , pensa t' elle .  L ' odeur de chair putréfiée empestait dans tout la zone de cet îlot de rues gonflées d' immeubles . C' était un quartier dans lequel ni la police ,ni les pompiers ne venaient . Les morceaux de corps attirèrent des oiseaux charognards qui venaient partager le repas des chiens du quartier . Il y en avait beaucoup , et de toutes sortes . Ils tiraient sur les laisses de leur maîtres , de petites et grosses racailles , qui regardaient leurs chiens manger les cadavres de leurs proches . Ils étaient effrayés . En évidence , les restes des sexes arrachés de ces pervers étaient accrochés au bout de long pics ,  allignés  , figés dans le plâtre tout autour du plateau . Le message était clair . Les garçons de ce quartiers , les pervers , étaient choqués . On en parla dans toutes la ville , mais toujours pas de policiers , car ils avaient peur de ce quartier . Ils n' y venaient plus depuis si longtemps . Pendant un temps , on nota une baisse du nombre de viols dans la ville . Le tas de charnier grava le goudron de son odeur et de sa couleur . Une odeur de vieille boucherie de couleur pourpre . Elle avait quand même eu le temps de concevoir deux - cent cinquante portraits de chair . Elle tirait la peau humaine qu' elle clouait sur un châssis et peignait sur cette peau à l' aide de leur propre sang , et autres viscères broyées .
Parfois , elle s' amusait à peindre la toile devant le pervers ligoté encore en vie . Comme lors de la conception du quatre vingt dix neuvième portrait . Elle le fit poser pour elle . Elle sortait son couteau quand elle avait besoin de son sang , de viscères , ou d' un nerf à coller sur la toile . Pendant ce temps de fabrication , elle discutait avec le pervers . Elle voulait maintenant les faire avouer devant le tableau et devant le micro . Elle enregistrait le son des voix lors de leurs échanges verbaux , ainsi que les hurlements du pervers . Elle façonna 300 portraits pour tout le département . 300 portraits dont les sujets avait fini pour la plupart dans les bains d' acide sulfurique .

Elle avait appris à faire rire les jeunes femmes malheureuses, à les consoler ,  et à apaiser leurs coeurs . Elle l' avait tant fait pour son aimée , sans succès . Mais elle était forte de vengeance , maintenant . Cette force lui permettait de trouver les mots justes pour recentrer et soutenir l' autre dans le présent , le feu de la vie , et la douceur à venir du repos d ' une terre promise qui se réaliserait bientôt , dans le coeur des éplorées .
En signe de déclaration de guerre , elle ne mit pas les sept corps dans la piscine , comme à l' accoutumé , mais sur un plateau de plâtre qu 'elle déposa sur la place centrale du quartier où avaient eu lieu les viols . La punition fera peur , pensa t' elle .  L ' odeur de chair putréfiée empestait dans tout la zone de cet îlot de rues gonflées d' immeubles . C' était un quartier dans lequel ni la police ,ni les pompiers ne venaient . Les morceaux de corps attirèrent des oiseaux charognards qui venaient partager le repas des chiens du quartier . Il y en avait beaucoup , et de toutes sortes . Ils tiraient sur les laisses de leur maîtres , de petites et grosses racailles , qui regardaient leurs chiens manger les cadavres de leurs proches . Ils étaient effrayés . En évidence , les restes des sexes arrachés de ces pervers étaient accrochés au bout de long pics ,  allignés  , figés dans le plâtre tout autour du plateau . Le message était clair . Les garçons de ce quartiers , les pervers , étaient choqués . On en parla dans toutes la ville , mais toujours pas de policiers , car ils avaient peur de ce quartier . Ils n' y venaient plus depuis si longtemps . Pendant un temps , on nota une baisse du nombre de viols dans la ville . Le tas de charnier grava le goudron de son odeur et de sa couleur . Une odeur de vieille boucherie de couleur pourpre . Elle avait quand même eu le temps de concevoir deux - cent cinquante portraits de chair . Elle tirait la peau humaine qu' elle clouait sur un châssis et peignait sur cette peau à l' aide de leur propre sang , et autres viscères broyées .
Parfois , elle s' amusait à peindre la toile devant le pervers ligoté encore en vie . Comme lors de la conception du quatre vingt dix neuvième portrait . Elle le fit poser pour elle . Elle sortait son couteau quand elle avait besoin de son sang , de viscères , ou d' un nerf à coller sur la toile . Pendant ce temps de fabrication , elle discutait avec le pervers . Elle voulait maintenant les faire avouer devant le tableau et devant le micro . Elle enregistrait le son des voix lors de leurs échanges verbaux , ainsi que les hurlements du pervers . Elle façonna 300 portraits pour tout le département . 300 portraits dont les sujets avait fini pour la plupart dans les bains d' acide sulfurique .

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